Mon interprétation de la peinture à lire ci-dessous
Peintre : Steve Henderson
©Steve Henderson – Tous droits réservés
Aujourd’hui, une envie de douceur, de beauté et de légèreté me saisit, et c’est donc tout naturellement que mon choix de peinture se porte sur cette lumineuse œuvre de Steve Henderson.
Emmène-moi où se forment les couleurs, là-haut, tout là-haut. Là où les gros rochers roses s’exhibent dans le ciel, là où naît la lumière éternelle.
Il y a vraiment des spectacles que je ne peux raisonnablement pas manquer ! Ne dit-on pas que plus l’on s’élève, plus on s’approche du monde des créateurs, des artistes !
J’entends donc bien m’installer en hauteur dans cet environnement grandiose et observer ce qui s’y passe ! Observer, j’adore ça !
Tout d’un coup, un banc de brume cristalline me grise, je passe au travers et je fais connaissance avec le vide dans une euphorie jubilatoire.
Secrète jusqu’à sembler impénétrable, une vaporeuse Sylphide, sereine, paisible, silencieuse semble se jouer du vent ; dans une gestuelle magnifique, elle impose sa légèreté et laisse son drapé aérien, velouté de soleil, danser comme une fleur sauvage.
Que de grâce et d’élégance ! Des ailes se déploient dans la mousseline dorée en formant des vagues de soleil. Je rêve qu’elle laisse s’envoler son voile et le garder pour embellir mes songes de mousseline.
La vie est lente sur ces hauteurs, sacrée, intouchable. Une ouate protectrice dans le ciel lointain enveloppe les monts rosés, comme de fragiles bijoux dans leur écrin.
Et puis le miracle se produit, les couleurs se sourient avec une curiosité sympathique, comme on se sourit à la première rencontre. Et dans un élan de tendresse fusionnent dans un tourbillon exaltant.
Un immense Merci à Steve Henderson, peintre fabuleux, poète des couleurs et des formes, capable d’illuminer en profondeur par ses œuvres le monde qui l’entoure. J’aurais envie de lui dire : « Vous êtes le Soleil, nous sommes les Étoiles ».
Steve Henderson sur Facebook
Son site : http://stevehendersonfineart.com/
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Une réflexion sur “Là-haut”